Cette période de confinement inédite nous conduit à repenser la place de notre corps, de nos émotions. Et pour beaucoup d'entre nous, c'est une découverte. Isolement, promiscuité, intimité, symptômes. Tous ces mots nous invitent à considérer notre corps, notre ressenti, à les écouter, comme faisant partie intégrante du trio : tête, cœur, corps. Or, que cela nous plaise ou non, notre corps a une place centrale dans nos vies, bien plus que de simplement trimbaler notre cerveau, et nos émotions ont bien mieux à faire que d'être, elles aussi, confinées. Il y a quelques mois, je découvrais une femme qui devait être merveilleuse à cotoyer : Angeles Arrien. Je tiens à remercier mon ami Serge Durand qui me l'a faite connaître. Je vous propose de creuser ensemble un de ses enseignements, tiré des sagesses anciennes.