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Vous pensez que la formation ne marche pas ? Vous avez raison.

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Il existe un immense malentendu sur la formation et son (in)efficacité à long terme. Si la formation professionnelle s'est créée pour la transmission de savoir-faire dans l'entreprise, q uand il s'est agi de transmettre des savoir-être ou des savoir-faire mais qui impliquaient un changement de vision de son propre travail, des attitudes, des postures, les méthodes ont été simplement transposées et j'ai pu constater que cela marche mal et ne dure pas. Pourquoi ? Parce que cela ne peut pas marcher. En voici la raison principale. Mais d'abord une histoire.

Un moyen simple de se faire manipuler : le déni

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Le déni est essentiel à tout bonne forme de manipulation mentale, surtout si elle doit être pérenne. Et les manipulateurs le savent bien. Leur talent repose sur la capacité à détecter et à exploiter cette situation. Le déni est un mécanisme de défense qui survient quand la réalité est perçue comme imposant à une personne une situation mentalement intolérable.  Le rejet est un autre mécanisme qui permet d’évincer la réalité. Vous avez des idées fermes et définitives sur ce qui est bien ou mal, sur ce qui vrai ou faux, sur ce qui est juste ou non, sur ce qui se fait et ne se fait pas ? Vous êtes prêt...

Gestion de crise (2) : risque ou incertitude ?

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Face à une crise, il y a deux aspects que tout dirigeant se doit d'être en mesure gérer : le risque et l'incertitude. Or, si le risque se maîtrise. Agir dans l'incertitude demande d'autres qualités. En cas de crise grave dans une entreprise, une seule chose est sûre, elle est déjà gagnée ou perdue au moment où elle survient. Un seul mot : préparation.

Confinement (3): Sale temps pour le micro-manager !

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Cette période inédite qui oblige beaucoup d'entre nous à télé-travailler fait un grand malheureux : le micro-manager. Pour lui, le virage à prendre pour s'adapter à la situation est dur à prendre mais pas impossible. Voyons comment.

Confinement (2): interroger la place du corps et des émotions

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Cette période de confinement inédite nous conduit à repenser la place de notre corps, de nos émotions. Et pour beaucoup d'entre nous, c'est une découverte. Isolement, promiscuité, intimité, symptômes. Tous ces mots nous invitent à considérer notre corps, notre ressenti, à les écouter, comme faisant partie intégrante du trio : tête, cœur, corps. Or, que cela nous plaise ou non, notre corps a une place centrale dans nos vies, bien plus que de simplement trimbaler notre cerveau, et nos émotions ont bien mieux à faire que d'être, elles aussi, confinées. Il y a quelques mois, je découvrais une femme qui devait être merveilleuse à cotoyer : Angeles Arrien.  Je tiens à remercier mon ami Serge Durand qui me l'a faite connaître. Je vous propose de creuser ensemble un de ses enseignements, tiré des sagesses anciennes.

Les émotions en entreprises

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Ce mois-ci, un billet court sur ma frustration de voir de nombreux articles à ce sujet où il me manque toujours quelque chose. Je suis loin d'avoir pu faire le tour de la question mais je vous propose une vision personnelle des émotions et du cadre que j'utilise pour les approcher en coaching ou en formation pour les entreprises. Aucune émotion n'est bonne ou mauvaise en soi, positive ou négative. Elles sont plus ou moins confortables selon le contexte. Est-il plus confortable de se sentir heureux dans un enterrement ou triste dans un mariage, en colère devant une comédie sentimentale ou en panique devant un un ours en peluche ?